Salutations.
Un nouveau rapport qui vient compléter notre petite excursion estivale. L'objet principal de la venue était de rechercher des apaturas et surtout Aricia morronensis.
Avant même de commencer un Brenthis ino sur une scabieuse. De quoi lancer le compteur de l'APN
Le biotope il y a quand même quelque-chose de différent avec les Alpes.
Erodium glandulosum PHL du papillon recherché.
Lycaena virgaureae ça fait toujours quelque-chose de le voir.
Anthocharis euphenoides ça compense de pas l'avoir vu en Mars.
Le Coenonympha glycerion pyrénéen. (ssp pseudoamyntas.)
Satyrium spini un pas trop dur à reconnaître.
Parnassius mnemosyne ici en très bon état.
Un petit rassemblement hétéroclyte
Plus on s'enfonce plus on obtient un bel aperçu.
Sur le retour nous décidons de repasser dans le sens inverse toujours dans l'espoir de trouver morronensis. J'en profite pour photographier les nombreux Apollons qui volent par ici. J'ai constaté comme sur celle du Canigou qu'elle présente une diversité assez incroyable il n'y a jamais deux individus identiques contrairement aux populations alpines qui ne semblent pas aussi diversifiées au niveau d'une population.
Un couple de Zygaena en plein batifolage. Reste à trouver qui ça peux être les populations Pyrénéennes manquent de connaissances.
Au final pas un seul Aricia morronensis mais quelques prises intéressantes tout de même. Nous étions que le 12 juillet ce qui est un peu normal pour une bête relativement tardive. Une belle station qui clôturera le séjour.
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La nature doit être protégée, encadrée et contrôlée. Mais elle doit aussi être utilisée et appréciée, et non mise sous cloche. Tel est le paradoxe que vous devez assimiler.