Je remerci un certain JeanAlain du forum insectes.org de m'avoir fournis les oeufs et les quelques conseils sur la plante nourricière.
Les faits:
En automne je reçoit comme remerciement pour mes contributions à l'atlas régional de vendée quelques oeufs de thècles du bouleau.
Après les avoir laissés passer l'hivers dans la boîte dehors à l'abris de la pluie il y a deux semaines j'ai fixer les branches ou sont accrochés les œufs avec du scotch résistant à l'humidité dans l'arbre nourricier.
L'arbre en question est un cultivar de prunus (ou prunellier) son nom ne lui va pas puisque sa chenille ne se nourrit pas de bouleau mais du prunellier sauvage (prunus spinosa), ou de cultivars domestiques, ainsi que les prunier, c'est aussi le plus gros thécla et même lycaenidé de françe si l'on ne compte pas la lucine qui reste encore flou concernant sa famille.
Contrairement à d'autres lycaenidés ce dernier ne nécessite pas de colonies de fourmis pour ses derniers stades ou sa nymphose. L'oeuf est pondu puis passe l'hivers sur l'arbre nourricier. La chenille éclos donc au printemps.
C'est également le premier lycaenidé que j'élève c'est l'un des rare qui ne nécessite pas de fourmis de type myrmica pour se développer.
Le système de fixation à l'arbre.
L’œuf est pondu en général entre les rameaux la ou une branche se divise il n'est cependant pas rare qu'il y a parfois 2 voir 4 œufs au même endroit si plusieurs femelles passent dsl de la qualité flou mais je n'arrive pas à bien le prendre.
J'espère réussir et pouvoir faire une fiche ensuite dessus
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La nature doit être protégée, encadrée et contrôlée. Mais elle doit aussi être utilisée et appréciée, et non mise sous cloche. Tel est le paradoxe que vous devez assimiler.