Quelques degrés de plus et tout est chamboulé.

Il n'est pas vraiment possible de savoir ce qu'il en serait réellement mais il y a de quoi se poser de sérieuses questions.


http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2018/05/17/pour-la-biodiversite-un-demi-degre-de-rechauffement-change-tout_5300656_1652692.html

Source Lemonde.fr

Sur le sujet, lire le post sur un forum. Cela se passait il y a 6000 ans en Europe.
On est pas au bout de changements significatifs

https://www.laterredufutur.com/forum/viewtopic.php?f=43&t=1985&sid=875ba2a57210af33eae623173b203f44

Pas eu beaucoup de commentaires sur ce post du forum la terre du futur (environs 40 visites à partir d'Insecterra).
Pourtant on peut y lire les énormes changements intervenus en l'espace de seulement 7000 à 6000ans en Europe occidentale.

Au plan entomologie, les forêts de pins disparues sous la mer du Nord et  la Manche, ont fournies énormément d'ambre et en conséquence pas mal d'insectes ont été piégés dedans.
C'est ainsi que j'ai pu lire il y a peu que des carabes entiers fossilisés dans l'ambre auraient été trouvés dans des blocs d'ambre roulés sur les plages de la mer du Nord en Pologne.
J'attends avec impatience la détermination de ce matériel d'âge quaternaire.

En tout cas j'ai pas eu de questions particulières de la part du chamane Hulot et autres disciples.

La suite..mieux expliquée dans Wikipédia.

Il semble qu'il y faisait probablement chaud il y a pas si longtemps que cela!
lire pj:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Doggerland

Je ne comprends pas le faible écho dans les médias de ces découvertes somme toutes récentes, car cela  montre que l'homme n'a que très peu d'emprise sur les phénomènes naturels majeurs.

Je ne sais pas si on peut comparer les réchauffements climatiques passés qui se sont étalés sur des milliers d'années avec le réchauffement actuel, car il me semble que celui provoqué par l'homme (depuis la révolution industrielle du XIXème siècle) est beaucoup plus rapide. Et puis, cela ne va pas du tout s'arranger d'ici la fin du siècle, vu la manière dont c'est parti (cf. les scénarios du GIEC). Bref, les espèces n'ont pas vraiment le temps de s'adapter (particulièrement vrai pour les plantes à aire de distribution limitée), et avec les destructions de biotopes entre autres, c'est assez mal barré pour maintenir une biodiversité équivalente à aujourd'hui. On risque d'avoir au moins une banalisation de la biodiversité (dans le sens où les espèces les plus rares vont être les premières à disparaitre).
La biodiversité se maintiendra sans doute mieux à la montagne, car c'est beaucoup plus rapide de monter en altitude que de se déplacer en latitude pour parer au réchauffement climatique.

Bonsoir inachis ax,
En fait on ne peut pas écrire cela, car il s'agit de la même phase interglaciaire qui a débuté il y a 9 000/10 000 ans après la fin du terrible épisode glaciaire du Wurm III, et qui se poursuit de nos jours, et dont l'espèce humaine a largement profité pour se multiplier au détriment des autres.

Ce qui s'est passé il y a 8000/6000 ans dans le Doggerland est un événement énorme lié à cette phase interglaciaire (changement du climat) avec la submersion d'une partie gigantesque du continent Ouest Européen et lié à la fonte d'un "Inlandsis". Le niveau des eaux a monté de plus de 100/120m sans aucune contribution humaine  

Tu devrais venir suivre des cours de géologie à la Fac d'Orsay.

(nb: j'ai lu les scénarii du GIEC et connais même bien quelques chercheurs associés au GIEC qui y trouvent un moyen de financer leurs recherches, en publiant des travaux toujours orientés dans le "bon sens" c.a.d. celui prêché par notre chère Greta .)

Pour information , la revue Sciences et Avenir vient de publier dans son fascicule d'Avril 2020 n°878, un article intéressant relatif à la découverte récente (travaux en 2018/2019) d'une forêt sous la mer au large du Littoral languedocien, dont les vestiges révèlent un paysage englouti datant de 8000 ans (datation au Carbone 14) , et situé à 1 kilomètre de la côte actuelle!! entre Palavas-Les-Flôts et Carnon .
Cela témoigne la aussi d'une remontée sévère du niveau de la mer durant l'Holocène. Il y aurait des débris d'ambre dans le système racinaire et les troncs enfouis.

Je viens juste d'apprendre par des collègues de la Fac de Montpellier, que des coléoptères "Scarabs" fixés dans l'ambre ont été "chalutés" sur le site indiqué" plus haut

Pour les forumeurs "intéressés" du site web Insecterra, j'ajoute que pour compliquer les choses... il y a eu aussi (voir Wikipedia) un réajustement isostatique local de la croute terre-stre, entrainant souvent des basculements et lié à la décompression brutale des sédiments suite à la disparition de la glace.

Sur ce point de l'épaisseur de la couverture des glaces et son extension, le chercheur Ringard  de la Fac de Bordeaux que je connaissais bien et qui était spécialisé dans l'étude de la (micro et macro) faune des  molasses quaternaires des bordures de la Gironde, m'avait dit qu'il pensait que l'épaisseur de l'Inlandsis au niveau de la ville de Bordeaux était de plus de 3 km des glace, selon ses relevés. (A l'époque, 1972/1973)  j'avais du mal à le croire.....)

A retenir aussi que cette transgression s'est accompagnée dans le nord de l'Afrique et à la même époque (-6000 ans), de l'épisode Tchadien qui lui a entrainé un asséchement presque complet de la région, et la création il y a 5500/5000 ans du désert du Sahara suite à la modification du régime des vents "Alizé". Lors de mon double  séjour au Niger de plus de 10 ans cumulés, je l'ai particulièrement bien étudié .

Ce qu'il faut retenir est que à cette époque,  l'influence des humains sur une telle catastrophe récente (nommée par les géologues transgression Flandrienne) est nulle.

L'article de la revue Sciences et avenir peut être consulté ici:

https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/une-foret-sous-la-mer_142307

Bonjour Pierre.

Le débat est intéressant. Néanmoins je ne prends que rarement pour avis certain ce qui est sur wikipedia ou chacun est un peu libre de mettre ce que bon lui semble.
La ou le débat est un peu plus sujet à caution c'est que même si cela est dans un cycle naturel des choses je ne pense pas que cela se soit fait de manière aussi brutale qu'à l'heure actuelle. 200 ans ce n'est même pas une poussière à l'échelle géologique hors en combien de temps ces événements passés se sont produits? Quelques dizaines d'années comme aujourd'hui ou une échelle plus longue encore? Et dans tout les cas ces modifications profondes du climat ont provoqués des extinctions de masses.
Même si le réchauffement actuel est peu-être qu'une broutille il est impossible de nier que des changements provoquent des extinctions et que ce réchauffement n'est pas naturel. Et qu'il provoque aussi des modifications bien perceptibles.

Je n'ai aucune connaissance en géologie cela est plus mon avis sur la question.

Trouve juste tes propos, qui à mon avis  sont difficilement qualifiables mon cher Limenitis78.

La carte du continent ouest européen telle qu'elle devait être il y a -16 000 ans, puis -8 000 ans et
-7 000 ans.

Il va falloir se préparer pour beaucoup d'entre nous qui avons une propriété près de la côte , à avoir les pieds dans l'eau.
Selon des simulations une partie basse de la région parisienne sera touchée.

J'ai extrait ce graphique sur le site web "la terre du Futur".
Il synthétise les variations de la température moyenne en Europe pendant les 11 000 dernières années après la fin de la dernière terrible glaciation (Würm III) .
En orange les périodes chaudes

On connaissait les 3 hypothèses de Milankovitch qui expliquaient les changements climatiques passés (voir rappel du schéma pj):




Une intéressante et assez remarquable nouvelle hypothèse vient d'être avancée...lire ce forum PJ

https://www.laterredufutur.com/forum/viewtopic.php?f=53&t=2293

Un nouveau cycle de Milankovitch Message par FredTDF »

Un cycle orbital de 9 millions d’années pilote le cycle du carbone et les processus climatiques à long terme depuis le Mésozoïque
Dans une étude parue dans la revue PNAS du 13 octobre, des chercheurs de Toulouse laboratoire (GET, CNRS-Université Toulouse 3) et de Brême (laboratoire MARUM, Université de Brême), montrent qu’un facteur orbital de longue durée a temporisé la dynamique saisonnière du climat entre le Jurassique et le début du Crétacé.

Les cycles de Milankovitch sont des variations de l’insolation reçue par la Terre pilotées par des modifications périodiques des mouvements orbitaux. Ces derniers sont particulièrement connus pour avoir rythmé la dynamique des phases glaciaires et interglaciaires au cours du Quaternaire, mais de nombreuses études montrent que ces variations de l’ordre de la dizaine à la centaine de milliers d’années se sont aussi manifestées dans des périodes géologiques plus reculées. Cependant, se peut-il que de grands mouvements astronomiques régulent la dynamique du climat à l’échelle de plusieurs millions d’années ? Et si oui, par quel processus ?

Cette étude repose sur une analyse (spectrale) inédite la composition géochimique de bélemnites, des céphalopodes fossiles ressemblant à des calamars, ayant enregistré la composition isotopique en carbone et oxygène de l’eau de mer entre -200 et -125 Ma (millions d’années). De façon surprenante, les résultats montrent une fluctuation cyclique de la composition en carbone de l’eau tous les 9 Ma.

Article de TDF

Lors d'une discussion récente avec plusieurs géologues spécialistes des changements climatiques, une hypothèse forte pour expliquer les variations a été privilégiée.

Il s'agit de la fermeture du golfe du Panama qui a isolé à ce niveau les océans Pacifique et Atlantique, et provoqué un réaménagement des courants marins avec l'installation de la dérive Nord Atlantique du Gulf stream. Cette dérive a fortement contribué au dégel des Inlandsis sur l'Europe  et à la remonté des eaux.

Je relance le post suite à la lecture d’un article récent publié par le Norvégien Lars Holger, et repris par le magazine « Sciences et Avenir » de 2021 n°888 et intitulé « Des pointes de flèche en os humain ».
Ces objets qui représentent des pointes de projectiles mésolithiques vieilles de 10 000 ans, ont été taillées dans des os humains !!. Ces pointes barbelées proviennent du continent Doggerland, anciennes terres émergées qui permettaient il n’y a pas si longtemps lors les glaciations du quaternaire, de relier la Grande-Bretagne à l’Europe continentale.
Divers objets qui sont maintenant régulièrement remontés des fonds par les courants en même temps que des fossiles d’insectes, des silex et débris d’ambre, et aussi à l’aide de prélèvements par bennage, attestent de façon irrémédiable l’existence de ce continent longuement occupé par l’espèce humaine, et englouti depuis peu .

Selon d’autres sources, la cartographie de ces anciens sites occupés par les humains devrait être engagée une fois des crédits européens débloqués. Ils attesteront de l’ampleur du phénomène de débâcle glaciaire lié au changement climatique en cours depuis 10 000/11 000 ans et que l’espèce humaine subit de plein fouet maintenant sans pouvoir le contrôler.

Je signale la revue Sciences et Avenir de juin 2021 qui traite d’un article intéressant page 82 à 84 sur le Megalodon, énorme requin ( Otodus megalodon qui faisait 15 m de long) et qui a disparu des océans il y a 2 millions d’années, sans réelles explications.
La cause de sa disparition est examinée selon plusieurs hypothèses dont surtout le refroidissement climatique survenu au début du Pliocène ayant entrainé une baisse du niveau des mers. Ce bouleversement du climat a entrainé aussi une raréfaction des proies du requin car le colossal animal avait de gros besoins en nourriture.

L’article reprend aussi l’hypothèse (qui était indiquée plus haut) que « l’expension des calottes glaciaires aux pôles et les modifications tectoniques comme la fermeture de l’isthme de Panama entre l’Amèrique du Nord et du Sud , a complétement perturbé les circulations des courants océaniques ».

Pour les "forumeurs" d'Insecterra qui souhaiteraient en savoir plus sur la climatologie et le changement climatique passé, je leur conseille le site web suivant.
Il est particulièrement fiable et bien écrit par des spécialistes confirmés.

http://la.climatologie.free.fr/sommaire.htm


Lire en particulier la partie suivante:

la.climatologie.free.fr/glaciation/glaciation2.htm#quaternaire

Suite à des demandes d'info pour les périodes géologiques passées, j'attache cette échelle stratigraphique qui va jusqu'au Paléozoïque.
Elle est bien pratique.




Elle est un peu volumineuse mais espère que l'administrateur l'acceptera ....

Je mettrai aussi plus bas , le détail au niveau du Quaternaire (0-2 Millions d'années)

Pour le Quaternaire, j'ai scanné un travail remarquable qu'avait réalisé P. ALMERAS en 1996,
lors de ses recherches dans l'Aude,  et que je connaissais bien (Il habitait à Roquefort-des -Corbières).
Il a indiqué les lieux de fouille connus dans la région, et que j'ai personnellement visité.

Pour l'échelle des âges bien que l'on ne peut plus se référer maintenant à une quelconque référence......

Ici l'âge est indiqué sur le graphique ancien (datant de 1996), en années par rapport à la date de naissance de JC. (âge 0)
on est en +2021.

A propos des courants marins qui ont induits le climat depuis des lustres;
j'attache pour l'information des internautes d'Insecterra un document exceptionnel produit par la NASA et qui visualise sous forme animée, le courants actuels (site web PJ).

On peut vérifier le rôle prépondérant de le dérive Nord Atlantique qui permet de réchauffer le nord de l'Europe, ceci depuis la fermeture de l'isthme du Panama.

https://www.youtube.com/watch?v=CCmTY0PKGDs

A propos de sites Web, j'informe les internautes d'Insecterra de l'éxistence d'un site web particulièrement remarquable qui permet de connaitre la météo, les pressions atmosphériques et bien d'autres choses, au niveau de la terre.
Il suffit de zoomer sur sa zone d'intérêt et choisir le critère météo.

voir:
https://www.ventusky.com/?p=44.8;5.4;3&l=rain-3h

Au sujet des changements intervenus sur notre terre et « relativement récents » à l’échelle des temps, une nouvelle hypothèse géologique fait son chemin depuis peu. Il s’agit de l’existence d’un continent ancien qui a été nommé la Balkanatolie. Son accrétion à la plaque européenne se serait faite il y a longtemps, et pourrait éventuellement être responsable de l’importante Orogénèse alpine et aussi du volcanisme plus tardif de la chaine des Puys en France. Cela devra toutefois être étayé plus en avant….



La carte PJ était accompagnée des commentaires suivants :
« DÉCRYPTAGE - Il y a plus de 34 millions d’années, la Balkanatolie abritait une faune unique, qui a disparu quand elle a été reliée à l’Europe et à l’Asie ».
« Un continent oublié, des animaux extraordinaires à nul autre pareils sur la planète… On croirait l’histoire sortie d’un conte, pourtant il s’agit bien de travaux scientifiques des plus sérieux, publiés dans Earth Science Reviews (mars 2022). Le continent se nomme la Balkanatolie. Il a disparu il y a 34 millions d’années, absorbé par la plaque tectonique européenne. Mais avant de disparaître, il était habité par une faune unique dont on peut lire les traces dans les sols du sud de l’Europe, aux confins des Balkans et de la Turquie.
«Des équipes de fouilles ont d’abord mis au jour des fossiles d’animaux très inhabituels pour la région, raconte Alexis Licht, paléo et bio-géographe au CNRS, premier auteur de la publication. Des marsupiaux proches des faunes sud-américaines, ainsi que des sortes de félins archaïques ».

Quelques propos sur ces gaz à effet de serre sur lesquels les membres du GIEC (Groupement d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) ne cessent de faire leurs gammes.

L’effet de serre est un processus naturel résultant de l’influence de l’atmosphère sur les différents flux thermiques engendrés principalement par le Dieu solaire dont nous sommes tous des adorateurs, flux qui déterminent les températures au sol de notre planète.  
En effet, les températures terrestres obéissent à des interactions très complexes qui font intervenir  les apports solaires, les variations cycliques de l’orbite de notre globe, les courants de convection qui existent aussi bien dans les océans que dans l’atmosphère, le cycle de l’eau qui est encore mal connu, l’effet albédo de l’atmosphère et son forçage radiatif c’est-à-dire l’effet de serre.

Lorsque les rayons du soleil pénètrent dans l’atmosphère terrestre, 25 à 30% d’entre eux sont renvoyés vers l’espace par l’air, les nuages blancs et la surface claire de la Terre : l’albédo est la mesure de cet effet de miroir. C’est donc l’expression de leur pouvoir de réflexion. Les rayons incidents qui n’ont pas été réfléchis vers l’espace sont absorbés par la surface terrestre pour 51% d’entre eux et par l’atmosphère pour 20,7%.

On désigne par atmosphère la couche de gaz et de poussières d’une épaisseur de 700 km environ qui enveloppe GAIA, notre terre à tous. Elle est composée à 78% de diazote (N²), à 21% de dioxygène (O²) et à 1% d’argon (Ar). Elle contient également, mais de manière diffuse, des gaz qui sont essentiels pour le maintien de la vie sur Terre, au premier rang desquels la vapeur d’eau (H²O), l’ozone (O3) qui permet de filtrer le rayonnement ultra-violet lequel est particulièrement dangereux et le gaz carbonique (CO²) en quantité extrêmement limitée mais suffisante pour contenir l’énergie solaire et réguler les températures à la surface de notre globe.

Ce sont ces gaz de basse atmosphère qui forment un bouclier chargé d’absorber la partie de l’énergie solaire que la Terre réfléchit et de la lui retransmettre, contribuant ainsi à son réchauffement. Sans cet « effet de serre », pardon, ce forçage radiatif, la vie sur Terre ne serait probablement pas possible.

D’après le GIEC, les gaz à effet de serre (GES), ou tout au moins les principaux d’entre eux, sont par ordre décroissant :

- La vapeur d’eau (H²0) 60%
- Le dioxyde de carbone (CO²) 15%
- L’ozone (O3)  3%
- L’argon                      1%
- Le méthane (CH4), le protoxyde d’azote nitreux (N²O) et  autres.....................................................21%                                                                                                        
Pour ce qui est de la vapeur d’eau, il faut également tenir compte de l’effet de serre inhérent aux nuages de telle sorte que l’ensemble vapeur d’eau + nuages représente plus de 90 % de l’effet de serre contre lequel nous ne pouvons rien et les parapluies ne nous sont d’aucune utilité.
Propos inspirés d’après le spécialiste internationnal  Medaisko 2014.

Il a fait très chaud en France en juillet 2022, mais pourtant se souvenir que 2002 n'était pas mal non plus.
Mais la cartographie de présentation des températures a bien évolué en 20 ans, comme le montre le montage suivant.